abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

هذه الصفحة غير متوفرة باللغة العربية وهي معروضة باللغة French

المقال

25 سبتمبر 2020

الكاتب:
Capital

Brésil : Volkswagen signe un accord avec la justice pour indemniser d'anciens salariés victimes de violations de droits humains commises durant la dictature militaire

« Brésil : Volkswagen dédommage d’ex-salariés pour “violations des droits de l'homme” », 24 septembre 2020.

Volkswagen passe à la caisse au Brésil. Suite à un accord avec la justice, le géant allemand de l'automobile va dédommager d'anciens salariés victimes de la dictature. Les anciens employés et leurs familles le demandaient depuis cinq ans à Volkswagen, faisant valoir que son service de sécurité au Brésil avait collaboré avec le régime militaire (1964-1985) pour identifier de possibles suspects, qui par la suite ont été arrêtés et torturés.

Selon cet accord avec les autorités fiscales nationales et régionales au Brésil, VW paiera 36 millions de réales (5,5 millions d'euros, 6,4 millions de dollars) de compensations, incluant 16,8 millions de réales pour les salariés et leurs familles, a indiqué l'entreprise dans un communiqué..."Nous regrettons les violations qui se sont déroulées dans le passé. Pour Volkswagen, il est important d'assumer sa responsabilité dans ce chapitre négatif de l'histoire du Brésil et d'encourager la transparence", a déclaré un dirigeant de Volkswagen Hiltrud Werner...

Cette collaboration a duré de 1969 à 1979 et a conduit à l'arrestation "d'au moins sept salariés", à une époque où l'usage de la torture par la police politique était chose connue...Le régime militaire brésilien est responsable de la mort ou de la disparition d'au moins 434 personnes, selon la Commission nationale de la vérité créée pour enquêter sur les crimes de la dictature. Quelques 20.000 personnes ont également été torturées....