abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

Esta página no está disponible en Español y está siendo mostrada en French

Artículo

23 Dic 2019

Autor:
Human Rights Watch

La société civile appelle l'industrie textile et des chaussures à davantage de transaprence sur leurs filières d’approvisionnement malgré des améliorations depuis 2016

« Industrie de l'habillement : Une transparence accrue dans ce secteur », 18 décembre 2019

Ces trois dernières années, les entreprises du secteur de l’habillement et des chaussures ont considérablement accru la communication d’informations sur leurs filières d’approvisionnement, a déclaré une coalition de syndicats, d’organisations de défense des droits humains et de militants des droits des travailleurs dans un rapport commun diffusé aujourd’hui...

Le rapport de 15 pages, intitulé « Fashion’s Next Trend: Accelerating Supply Chain Transparency in the Garment and Footwear Industry » (« Nouvelle tendance dans la mode : Transparence accrue sur les filières d’approvisionnement de l’industrie de l’habillement et des chaussures »), décrit la façon dont des dizaines de marques rendent publiques des informations sur les ateliers où elles s’approvisionnent. Il est aujourd’hui largement reconnu que cette pratique va permettre de mieux repérer et combattre les abus qui ont cours dans les filières d’approvisionnement de l’habillement.

« La transparence ne résout pas toutes les entorses aux droits du travail, mais elle est cruciale pour les entreprises qui se présentent comme éthiques et durables », a expliqué Aruna Kashyap, juriste senior auprès de la division Droits des femmes à Human Rights Watch...

La coalition estime que l’action volontaire des entreprises est limitée et qu’il serait plus efficace de promulguer des lois nationales imposant aux sociétés d’effectuer des contrôles de vigilance sur le respect des droits humains dans leurs filières d’approvisionnement, et de communiquer publiquement, au minimum, le nom des ateliers qu’elles emploient...