abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

Le contenu est également disponible dans les langues suivantes: English, 日本語

Article

14 Nov 2024

Auteur:
Simon Glover, EcoTextile,
Auteur:
AFP, Fashion Network

Myanmar: Next, LPP et New Yorker visés par des plaintes pour violations 'graves' des droits des travailleurs

IndustriALL Global Union

" Plaintes contre des groupes d'habillement qui produisent en Birmanie" 13 novembre 2024

La confédération IndustriALL Global Union, basée en Suisse, a déclaré dans un communiqué avoir déposé, avec deux syndicats interdits de Birmanie, CTUM et IWFM, des plaintes contre les groupes britannique Next, polonais LPP et allemand New Yorker, les accusant d'avoir enfreint les lignes directrices internationalement reconnues en matière de conduite responsable des entreprises.
Les principes directeurs de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) appellent les multinationales à agir de manière éthique et responsable en ce qui concerne les droits humains et les droits des travailleurs, a souligné IndustriALL. Selon elle- une faîtière représentant quelque 50 millions de travailleurs par l'intermédiaire de plus de 600 syndicats affiliés - l'industrie du textile et de l'habillement est devenue un moyen important pour la junte birmane "d'injecter de l'argent étranger dans une économie qui s'effondre".

"La junte militaire birmane a interdit les syndicats et arrêté les dirigeants syndicaux", rappelle l'organisation, insistant sur le fait qu'"il n'y a pas de liberté d'association" et que "les syndicats et les autres organisations de travailleurs ne peuvent pas fonctionner".

La plainte, déposée auprès des points de contact nationaux de l'OCDE en Grande-Bretagne, en Allemagne et en Pologne, où les trois entreprises ont leur siège social, ainsi qu'aux Pays-Bas, fait état de graves violations des droits des travailleurs et d'un effondrement des salaires.