abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

6 Fév 2015

Auteur:
Karine Le Loët, Terraeco.net (France)

La nouvelle loi de la France sur les paiements des industries extractives permettra de savoir combien Areva verse au Niger, selon Martin Willaume d'Oxfam

« On va pouvoir savoir combien Areva a versé au Niger pour exploiter une mine », 6 février 2015

Fini, les deals avantageux passés en douce. Depuis le 1er janvier, les grandes entreprises françaises d’extraction sont contraintes de rendre publics tous les paiements faits aux autorités du pays dans lequel elle puise les ressources qu’elles exploitent. Martin Willaume, chargé de plaidoyer sur les industries extractives à Oxfam France et coordinateur en France de la plateforme « Publiez ce que vous payez », décrypte cette nouvelle loi...Prenons Areva au Niger. Pour avoir l’autorisation d’exploiter, Areva paie plusieurs droits : des impôts, une redevance minière…Dans son rapport sur la transparence, on va pouvoir désormais savoir combien elle a versé telle année aux autorités nigériennes pour l’exploitation de la mine A. [Fait référence à Statoil].