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Article

13 Jul 2017

Auteur:
Global Witness

La pire année pour les défenseurs des droits environnementaux et fonciers : au moins 200 morts en 2016, alors que la crise se propage à travers le monde

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Le nombre de pays touchés par des assassinats de manifestants luttant contre l’accaparement des terres a triplé de 2015 à 2016…

En 2016, près de quatre personnes se sont fait assassiner chaque semaine alors qu’elles protégeaient leurs terres, leurs forêts et leurs rivières contre des sociétés minières, forestières et agricoles, comme le révèle un nouveau rapport de Global Witness publié aujourd’hui. Neuf assassinats de gardes ont été prouvés en République démocratique du Congo en 2016…

Cette tendance à la hausse (le bilan était de 185 morts en 2015) se propage, des meurtres ayant été signalés dans 24 pays, contre 16 en 2015…

Près de 40 % des meurtres ont ciblé des personnes indigènes, après que les terres sur lesquelles elles vivaient depuis plusieurs générations avaient été volées par des entreprises, des propriétaires fonciers ou des acteurs de l’État…