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"Des délégués syndicaux...ont passé deux semaines intenses à faire du lobbying et à organiser les choses à la COP26 de Glasgow pour s’assurer que les questions relatives aux travailleurs et travailleuses figurent à l’ordre du jour de la Conférence sur le climat."
Les discussions et négociations intenses de la COP26 ont pris fin samedi 13 novembre avec des accords globaux. Certains signataires étaient moins satisfaits que d’autres. Si les mesures votées exhortent les pays à tout faire pour ne pas dépasser la barre de 1,5°C, cet objectif va rester difficile à atteindre.
Plusieurs semaines de négociations à Glasgow, en Écosse, ont amené à un compromis, avec quelques avancées sur la question climatique. Mais les principales revendications portées par les pays les plus touchés par le réchauffement n'ont pas abouti. François Mazet fait le bilan avec le Malien Seyni Nafo, porte-parole des négociateurs des pays africains.
Alors que la COP26 s’est clôturée à Glasgow, une « COP 26 live » s’est tenue au Sénégal pour échanger sur l’avenir de l'Afrique face aux changements climatiques. Une randonnée pédestre dite écologique à Bargny, près de Dakar, clôturait cette semaine de rencontres.
"Les quelque 200 pays de la COP26 ont adopté samedi un accord loin de faire l'unanimité. Le "pacte de Glasgow" est jugé en deça des espérances de départ..."
À l'heure de la COP 26 et du réchauffement climatique, les vastes réserves d'hydrocarbures découvertes au large de la Côte d'Ivoire doivent-elles être exploitées ? Le débat n'est pas vraiment ouvert dans la société ivoirienne, même si certaines ONG prennent position.
Un accord a été finalement trouvé à la COP26, mais déjà des voix s’élèvent pour le critiquer, le minorer. Que dire de ce pacte de Glasgow alors que la menace du réchauffement climatique se fait de plus en plus forte ? Notre invité, Sébastien Treyer, est le directeur général de l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri). Il est interviewé par Andréane Meslard.
"L'Organisation internationale du Travail joue un rôle clé dans l'élaboration de la Déclaration pour une transition juste, adoptée lors du Sommet des Nations Unies sur le climat à Glasgow."
Après deux jours consacrés au sommet de chefs d'État et de gouvernement à la COP26 sur le climat à Glasgow en Ecosse, place aux négociations pour tenter de limiter le réchauffement climatique à +1,5 degrés. Ce mercredi a vu également le secteur financier s'engager pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050 (pour que les investissements n'engendrent pas plus d'émissions de carbone qu'ils n'en absorbent). De premières annonces critiquées par les ONG.
Le Royaume-Uni, hôte de la COP26, a annoncé ce jeudi un accord devant rassembler 190 pays et organisations pour mener à un renoncement progressif du charbon.
Les pays du sud-est de l'Europe restent très dépendants de la lignite, dont leur sous-sol regorge, pour produire de l'électricité. Une véritable catastrophe environnementale : ces 18 centrales polluent plus que tout le parc de l'Union européenne. Les populations locales paient de leurs vies un choix énergétique controversé.
Lundi 2 et mardi 3 novembre, à l’occasion de la COP26 à Glasgow, le président malgache a rappelé à quel point la déforestation gagnait du terrain sur la Grande Île. Depuis l’indépendance en 1960, 100 000 hectares de forêt primaire partent en fumée chaque année, soit l’équivalent de dix fois la superficie de la ville de Paris. Cette déforestation pourrait être freinée, expliquent les spécialistes, à condition que les textes en vigueur soient enfin véritablement appliqués.
Une centaine de chefs d'État et de gouvernement dont les pays regroupent 85 % des forêts mondiales, s'engagent pour mettre un terme à la déforestation. La « déclaration des chefs d'États en faveur des forêts et sur l'utilisation des terres » est présentée comme un accord sans précédent en faveur de la protection des forêts. Parmi les pays signataires : le Brésil, l'Indonésie ou encore la RDC.
Lors de la COP26 qui se tient actuellement à Glasgow, plus de 80 pays, dont l’Union européenne et les États-Unis, se sont engagés à réduire de 30% par rapport à 2020 les émissions de méthane d’ici 2030.