abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

2 Avr 2010

Auteur:
Jérôme Ndereyimana, Inter Press Service (IPS)

Les entreprises gagnent à soigner leurs employés sidéens [Burundi]

Les entreprises burundaises, qui prennent en charge et soignent leurs employés atteints du SIDA, n'y voient que des avantages, les patients étant moins sujets aux maladies opportunistes qui coûtent cher à soigner. Ils sont moins souvent absents, les rendements s'améliorent et les salariés vivent mieux... [A] la Brarudi (Brasseries et Limonaderies du Burundi) [filiale de Heineken] qui emploie près de 500 personnes, [chaque] année, l'entreprise organise un dépistage systématique pour tout le personnel ainsi que pour leurs familles. La société fait des séances de sensibilisation, place des préservatifs dans les lieux publics et met aussi des anti-rétroviraux (ARV) à la disposition des malades. "Avec la prise en charge, la santé de notre personnel s’est nettement améliorée", affirme Dr Emmanuel Kamo, chef du département médical de l’entreprise. Depuis 2002, la société n’a enregistré qu’un seul décès dû au VIH.