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18 Oct 2016

Auteur:
Ndeye Aminata Cissé, Sud Quotidien (Sénégal)

Les industries extractives injectent 117 milliards en 2014

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La contribution du secteur extractif sur l’économie sénégalaise pour l’année 2014 s’élève à 117 milliards 708. C’est ce qui ressort du rapport de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE)...La contribution  directe au budget de l’Etat s’élève à 109 milliards de francs Cfa, représentant 92,8% des revenus générés par le secteur », explique Cheikh Tidiane Touré, secrétaire permanent du comité national Itie. Selon lui, le secteur minier est le premier contributeur au budget de l’Etat avec un total de 101 milliards de francs Cfa, soit 92,7% des recettes provenant du secteur extractif, suivi du secteur pétrolier avec une contribution totale de 8 milliards de francs cfa. Il souligne, par ailleurs, que la contribution du secteur extractif a connu une nette évolution liée au démarrage des deux nouveaux projets (cimenterie Dangoté et exploitation des minéraux lourds par la Grande Cote Opération (Gco) à Diogo). Pour le secteur des hydrocarbures, l’utilisation de prestataires pour les forages pétroliers par Capricorn a engendré une nette évolution en termes de paiement au titre de bénéfice non commercial. Il précise  que dans  le secteur minier, la contribution provient essentiellement des revenus exceptionnels de Arcelor Mittal  (49,063 milliards), de la collecte de flux tels que la Tva...De son côté, Ismaila Madior Fall, président du comité national Itie signale que le rapport de 2014 est meilleur que celui de 2013 qui était considéré comme un rapport test. « Les entreprises pétrolières et minières en 2013 n’avaient pas bien  compris. Cette fois-ci la participation est de 100%. Et toutes les entreprises ont déclaré leur permis. Les données que nous avions en 2013 n’étaient pas fiables. Cette année, tous les paiements ont été fiabilisés et certifiés. Toutes les entreprises, à l’exception d’Az pétrolum, ont certifié ce domaine par un auditeur externe. Et les états financiers ont été certifiés par un commissaire au compte. Donc les données que nous avons sont des données fiables », a-t-il souligné.

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