Les migrants s’éveillent à la révolte dans les usines chinoises
[Le] sort des travailleurs [en Shenzhen], presque tous migrants venus des campagnes, ne change pas. Douze heures de travail quotidien pour un salaire mensuel de 1 000 à 2 000 yuans...et un jour de repos par mois. Pas de chômage, pas de sécurité sociale ni de retraite. La grève et les syndicats sont interdits. [Mais] Liu Kaiming, directeur de l’ICO (Institut d’observation contemporaine) [dit qu'] [o]n «...assiste à de plus en plus de conflits, de débrayages. Certains ouvriers commencent même à traîner les employeurs devant la justice.» [fait référence à Maersk, Highway Holdings, Zhenghui Clothing Factory, Wrangler, North Face, Kipling, Haowei Toys, Disney]