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Article

25 Aoû 2013

Auteur:
Matthieu Millecamps, RFI

Les paysans burundais confrontés à la privatisation de la filière café

Dans le nord du Burundi...[depuis] que la privatisation de la filière a été lancée sous l'impulsion de la Banque mondiale, un bras de fer entre deux modèles économiques...[se] joue...Oscar Runyagu [paysan producteur de café, indique]...« Nous travaillons à perte. L'an dernier, j'ai obtenu 460 francs burundais (FBU) par kilo...(0,25 euro) alors que pour rentabiliser ma parcelle, le prix devrait être de 1000 FBU le kilo »...[Pour] la Confédération nationale des associations de caféiculteurs (CNAC), la privatisation a bouleversé la filière...La privatisation a aussi signé la fin du principe d'un paysan « propriétaire de son café jusqu'à la fin du processus de valorisation »...La société Webcor est la première à avoir acheté des stations [de lavage] dans les provinces de Ngozi et Kayanza. Accusée de tirer les prix vers le bas par la CNAC et le rapporteur spécial des Nations unies pour la sécurité alimentaire, elle se défend. Olivier Wege, directeur général de la branche burundaise, la société n'a qu'un impact réduit à l'échelle du pays... [fait aussi référence à Armajaro]