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Article

1 Oct 2012

Auteur:
Kate Geary, Oxfam Grande-Bretagne

[PDF] « Notre terre, notre vie » Halte à la ruée mondiale sur les terres

Au cours des dix dernières années, une surface équivalente à huit fois la superficie du Royaume-Uni a été vendue à l’échelle mondiale dans un contexte d’accélération rapide des acquisitions de terres. Ces terres pourraient permettre de subvenir aux besoins alimentaires d’un milliard de personnes...Dans les pays pauvres, les investisseurs étrangers achètent une superficie de terres équivalente à celle de Londres tous les six jours. Alors même que les prix alimentaires flambent pour la troisième fois en quatre ans, les terres risquent de susciter un intérêt encore plus vif...Trop souvent, les expulsions forcées des agriculteurs pauvres sont la conséquence de ces transactions foncières dont le nombre croît rapidement dans les pays en développement. La Banque mondiale, en tant qu’organisme international chargé d’élaborer les normes et important investisseur elle même, devrait geler ses propres investissements fonciers et revoir sa politique et ses pratiques afin de lutter contre l’accaparement de terres...Oxfam demande un gel de six mois afin d'offrir le temps et l'espace nécessaires pour accomplir des progrès essentiels dans quatre domaines clés : droits fonciers et bonne gouvernance foncière, transparence, CLIP [consentement libre, informé et préalable] et sécurité alimentaire. [Fait référence à Lloyd's of London et Wilmar].