abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

19 Nov 2019

Sénégal:

Voir tous les tags

"INDUSTRIE EXTRACTIVE : LES ORGANISMES DE RÉPRESSION OUEST-AFRICAINS PAS ASSEZ OUTILLÉS FACE AUX CRIMINELS", 19 novembre 2019

Les outils dont disposent les organismes de répression criminelle ouest-africains ne sont pas à la hauteur du niveau de sophistication des criminels opérant dans l’industrie extractive, relève un rapport du Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA).
 

Le document relève notamment que "le caractère non réglementé du commerce de diamants bruts et d’or continuent d’exacerber la situation, plus particulièrement pour certains pays où les diamants ou l’or représentent une part importante du produit intérieur brut (PIB) ou des exportations totales, avec des systèmes formels sous-développés".
 
Intitulé "Blanchiment de capitaux et financement du terrorisme liés au secteur de l’industrie extractive en Afrique de l’Ouest", ce rapport dont copie a été obtenue par l’APS compte 77 pages.
 
Il souligne que le renforcement de la réglementation et de la transparence de l’industrie extractive et du secteur minier aidera non seulement les pays à lutter contre ces phénomènes, mais également à accroître leurs revenus et améliorer leur situation budgétaire.