abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

13 Avr 2017

Auteur:
Béatrice Héraud, Novethic (France) (copyright: www.novethic.fr)

Transparence des entreprises extractives : Les entreprises françaises peuvent mieux faire

Voir tous les tags

Les entreprises extractives françaises doivent désormais publier les paiements qu’elles effectuent auprès des gouvernements des pays dans lesquels elles opèrent. Des données précieuses pour comprendre leurs liens financiers et détecter les éventuels abus dans un secteur jusqu’alors très opaque. Dans un rapport publié aujourd’hui, les ONG Sherpa, One et Oxfam, décryptent ces premières déclarations publiques portant sur 2016. Mais si elles saluent ce premier pas vers la transparence, elles regrettent une analyse encore très complexe de ces données en mettant en avant le cas de Total et Areva. Explications. 

Total...souligne faire partie de l’initiative volontaire de référence ITIE sur la transparence du secteur au contraire de l’Angola. "Pour expliquer les écarts éventuels, il faut identifier les différences entre les indicateurs retenus [par Total et par l’Angola, NDLR] puis mener un travail important de réconciliation des données", explique un porte-parole du groupe qui précise que Total "respecte toutes ses obligations de reporting" (détaillé dans son document de référence) et reste "ouvert au dialogue".

Quant à Areva, [accusé de sous-évaluer ses exportations d'uranium vers la France pour éviter de payer des impôts,] l’explication [de l'entreprise] est simple : "le prix de cession Niger est calculé en tenant compte d'indicateurs officiels du marché de l'uranium. L’évolution des retombées pour l’État du Niger comme pour les autres actionnaires est directement liée à l’évolution du cours de l’uranium qui a fortement baissé depuis quelques années (ex : en 2016 baisse de 35 à 20 dollars/livre). Ce n’est pas en soit l’accord de 2014, jugé équilibré par les autorités nigériennes, qui est responsable de l’évolution des retombées", affirme le groupe

[fait aussi référence à EDF, Engie, Eramet, Maurel&Prom] 

[lire la suite : http://www.novethic.fr/lapres-petrole/energies-fossiles/isr-rse/transparence-des-entreprises-extractives-les-entreprises-francaises-peuvent-mieux-faire-144359.html]

Chronologie