abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

這頁面沒有繁體中文版本,現以French顯示

文章

2020年11月19日

作者:
FIDH

Forum des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l’Homme : la société civile et les communautés doivent être au cœur des discussions

« Forum des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l’Homme : la société civile et les communautés doivent être au cœur des discussions », 17 novembre 2020.

Au Forum annuel des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l’Homme – une plateforme mise en place pour évaluer les progrès réalisés par les états et les entreprises dans la mise en pratique des principes directeurs relatifs aux entreprises et aux droits de l’Homme – la FIDH plaide pour le renforcement des voies de recours par le biais de normes contraignantes. Elle souligne également l’importance des communautés dans le dialogue sur les entreprises et les droits humains...

lors que de nombreux intervenants participent au forum, que ce soient des représentants du gouvernement ou encore des fonctionnaires des Nations Unies, il est essentiel que les communautés soient au centre de toute discussion sur l’impact des entreprises sur le terrain. Ce sont les personnes directement affectées qui connaissent le mieux les conséquences des projets économiques et elles sont souvent à l’origine du travail essentiel de documentation et de demande de réparation pour les violations de droits humains : il est donc nécessaire qu’elles soient au centre des débats.

La présidente de la FIDH, Alice Mogwe, insiste sur ce point lors de la séance plénière d’ouverture : « Bien que la mise en place d’un dialogue ouvert et respectueux puisse mener à des changements substantiels dans la vie de celles et ceux qui sont directement touchées par les projets de développement, cela reste rare. Souvent, les échanges pour trouver des solutions n’ont lieu qu’après des années de lutte de la part des communautés – années durant lesquelles les violations perdurent – et dans un trop grand nombre de cas, ces discussions ne sont pas profondes, significatives ou respectueuses, mais ne relèvent que de simples exercices uniquement exécutés pour la forme de la part des entreprises. Le dialogue multipartite peut être un outil, mais seulement s’il est utilisé correctement, et si tous les participants y prennent part avec une sincère volonté d’écoute et ouverts à l’idée de changer leur position. »...