« 300.000 marins toujours bloqués en mer à cause du coronavirus », 24 septembre 2020.

Quelque 300.000 marins seraient en ce moment sur des navires et ne pourraient pas débarquer en raison de la pandémie. Ils risquent d’évoluer dans des conditions de travail déplorables.

Les grandes entreprises, dont Carrefour et Mondelez, estiment qu’il faut intervenir car le bien-être de ces personnes est menacé après tant de mois restées en mer. « Nous sommes à un moment crucial pour ces gens », écrit Marc Engel, responsable de la distribution chez Unilever. « Il y a un risque énorme de briser la chaîne de distribution. On peut parler de travail forcé car ces marins sont coincés sur ces embarcations. C’est une question de droits humains »...

Les entreprises estiment qu’il faut pouvoir tester ces membres d’équipage au coronavirus afin de garantir la sécurité...