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المقال

20 نوفمبر 2013

الكاتب:
Olivier Rogez, RFI

Diamants de la guerre, Kimberley et Centrafrique: éclairages de Claude Kabemba

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[A la question de savoir est-ce-que] l'Afrique du Sud craint une manipulation à des fins politiques du Processus de Kimberley, [Claude Kabemba répond]: "Ce n’est pas seulement l’Afrique du Sud, c’est à travers tout le continent africain, mais aussi le cas d’autres pays tels que la Chine. L’Afrique du Sud ajoute qu’il est possible de créer une complémentarité entre le Processus de Kimberley et d’autres initiatives, telle que l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives, mais aussi avec d’autres plateformes qui travaillent sur les droits de l’homme. Donc il n’est pas nécessaire pour le Processus de Kimberley de faire ce travail, comme il y a déjà des plateformes assez bien structurées qui travaillent sur ce sujet"...[Pour M. Kabemba, le Processus de Kimberley ne fonctionne pas du tout en République centrafricaine car dit-il "Nous sommes encore dans un système, dans des conditions politiques assez difficiles, pour qu’il y ait une surveillance correcte de la production et de la commercialisation du diamant. Raison pour laquelle je dis...[que] pour...la République centrafricaine, aussi longtemps qu’on n’aura pas mis en place un Etat efficace, je ne pense pas que le Processus de Kimberley puisse assurer [la] transparence [dans] l’exploitation [et] l’exportation du diamant...Ce n’est pas possible."