abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

23 Avr 2020

Auteur:
Rachel Knaebel, basta! (France)

Europe : Les applications de traçage des contaminations au virus du Covid-19 doivent respecter la vie privée, selon la société civile

"« Stop Covid » : une application de pistage du virus respectueuse des libertés est-elle possible ? ", 16 avril 2020

Le gouvernement prépare une application de traçage des contaminations au virus du Covid-19. L’application s’appellerait « Stop Covid ». Son objectif, « limiter la diffusion du virus en identifiant des chaînes de transmission », explique Cédric O, secrétaire d’État chargé du Numérique...

En Israël, les autorités utilisent les données de localisation des téléphones portables pour identifier les malades potentiels. En Corée du Sud, les personnes en quarantaine doivent installer une application qui permet de vérifier qu’elles respectent bien leur isolement. À Singapour, une application peut être installée pour identifier les personnes qui ont pu être contaminées. En Pologne, une application sert à vérifier le respect de la quarantaine stricte pour les personnes revenant de l’étranger. Celle-ci utilise la géolocalisation et la reconnaissance faciale : il faut envoyer une photo de soi-même depuis son smartphone pour prouver qu’on est bien chez soi. Les multinationales du numérique Apple et Google ont annoncé le 10 avril travailler ensemble à développer une application de tracking des contaminations, qui serait proposée aux États...

Le développement de l’application française fait partie d’un projet européen, le « Pan-European Privacy-Preserving Proximity Tracing » (PEPP-PT). L’intitulé de ce projet, qui associe 17 institutions dont, pour la France, l’Institut national de recherche en informatique et en automatique, insiste bien sur la « préservation de la vie privée »...

...« Le danger existe que les données soient utilisées par les autorités et la police. Il faut que cela soit absolument exclu. »...

Chronologie