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4 Jan 2022

Auteur:
FIFA

Australie et Nouvelle-Zélande : La FIFA publie une évaluation des risques relatifs aux droits de l'homme dans le cadre de la Coupe du Monde féminine de football en 2023

"Les commissions pour les droits humains en Australie et en Nouvelle-Zélande publient avec la FIFA une évaluation des risques", 21 décembre 2021

La FIFA et les Commissions australienne et néo-zélandaise pour les droits humains ont publié une évaluation conjointe sur les risques relatifs aux droits humains dans le cadre de la prochaine Coupe du Monde Féminine de la FIFA, qui aura lieu en Australie et en Nouvelle-Zélande en 2023.

L’évaluation s’est penchée sur l’incidence potentielle de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA 2023 sur les droits humains des joueuses, du public, des travailleurs et des communautés locales en Australie et en Nouvelle-Zélande.

D’autres parties prenantes, parmi lesquels plus de 100 entités et experts spécialisés dans droits humains, ont pris part à cette évaluation, émettant des recommandations sur le traitement à accorder aux travailleurs et aux bénévoles dans chaque pays hôte, et sur la santé et le bien-être des joueuses, des travailleurs et du public, dans le but d’offrir une compétition inclusive à laquelle chacun puisse prendre part.

Une attention particulière a également été apportée à la protection des personnes potentiellement les plus vulnérables, à l’image des enfants, des jeunes, des femmes, des communautés autochtones, des communautés différentes par leur langue et leur culture, des personnes souffrant de handicap et des personnes LGBTQI+.

Dans le cadre de cette évaluation, de nombreuses recommandations ont été formulées dans des domaines essentiels tels que les droits des sportifs, les droits des travailleurs, l’accessibilité, l’inclusion sociale, l’égalité des sexes, la lutte contre la discrimination, ainsi que la protection et la prévention en faveur des enfants...

L’évaluation des risques en matière de droits humains s’est effectuée selon les Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme (UNGP), qui constituent le cadre de référence mondial pour appréhender et prévenir les atteintes aux droits humains pouvant résulter des activités commerciales.

Le rapport a permis de recenser 57 domaines principaux relatifs aux droits humains. Pour chacun de ces domaines, une note a été attribuée en fonction de l’échelle, de la portée et de la résolvabilité – conformément aux critères retenus par l’UNGP – ainsi que de la probabilité de survenance effective.