abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

3 Jan 2019

Auteur:
AFP

Le PDG de Google plaide pour l'autorégulation des entreprises pour que l'intelligence artificielle ne viole pas les droits de l'homme

« Les géants de l'intelligence artificielle sauront s'autoréguler, dit Google », 12 décembre 2018

Sundar Pichai, le patron de Google, l'une des entreprises les plus à la pointe de l'intelligence artificielle (IA), estime qu'il est légitime de s'inquiéter de son application, mais juge que les entreprises sont capables de s'autoréguler...

L'argument n'est pas propre à la haute technologie et a été avancé de longue date par le secteur privé pour éviter toute ingérence de la puissance publique, arguant qu'il y avait un risque d'étouffer dans l'oeuf l'innovation.

Les critiques de cette approche estiment au contraire que le conflit d'intérêts inhérent à cette approche est dangereux...

Le débat fait rage aujourd'hui entre ceux qui y voient une menace existentielle et ceux qui au contraire estiment que l'IA est une chance...

En juin, Google a publié une série de principes guidant sa recherche et son usage de l'IA, avec comme principe fondateur que l'IA doit profiter à la société...

Google s'était notamment engagé à ne pas aider à développer des armes ou des outils permettant de violer les droits de la personne.

[Fait aussi référence à Amazon, Apple, IBM, Facebook, Microsoft]