abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

1 Mai 2011

Auteur:
Michel Doucin, Ambassadeur français chargé de la bioéthique et de la responsabilité sociale des entreprises, dans Réalités Industrielles

[PDF] La responsabilité sociale des entreprises plébiscitée par les pays émergents (malgré ses ambiguïtés)

[D]e nombreux pays émergents...voient dans la RSE le moyen de contenir une pression sociale et politique découlant des fortes inégalités existant dans lesdits pays...Les entreprises, par le biais de la RSE, peuvent compenser certaines limites de l’action publique...En Inde, les autorités encouragent la RSE en tant qu’outil pour contenir des menaces de révoltes populaires, dont la globalisation, amplificatrice des inégalités sociales, est porteuse...En Chine, les lignes directrices pour les entreprises publiques indiquent ainsi que la "mise en oeuvre de la RSE est non seulement leur mission et leur responsabilité, mais aussi une attente ardente et une exigence du public"…[Le] Gouvernement chinois voit dans la RSE une issue possible à son dilemme politique : les entreprises doivent assumer leur part de la construction des filets de protection qui permettront d’éviter l’explosion redoutée. [fait référence à Tata, Michelin, Auchan, Leclerc, Ouest-France, Danone, Edenred]