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文章

2014年1月5日

作者:
Abdoulaye Massalatchi et Véronique Tison, Le Nouvel Observateur (France)

Le Niger pourrait renoncer à durcir la fiscalité sur Areva

Le Niger pourrait renoncer à durcir le régime d'imposition d'Areva en raison du bas niveau des prix de l'uranium, a déclaré le ministre des Affaires étrangères Mohamed Bazoum. Le contrat pour l'exploitation des deux mines d'uranium du groupe français au Niger a expiré le 31 décembre et le gouvernement entend imposer un nouveau texte basé sur la loi minière de 2006, qui porte les redevances de 5,5% actuellement à jusqu'à 12% du chiffre d'affaires...Les négociations n'ont pas produit de résultat avant la date butoir du 31 décembre. Areva fait valoir qu'avec la baisse de la demande mondiale d'uranium, consécutive à la catastrophe de Fukushima en 2011, ses deux mines vieillissantes au Niger...ne seront plus rentables si leur fiscalité est durcie. "Ce ne sera probablement pas la loi de 2006 qui s'appliquera", a déclaré Mohamed Bazoum...Les cours de l'uranium, a-t-il précisé, sont passés d'environ 100.000 francs CFA le kilo à 40.000 (61 euros) sur le marché spot. "Cela pourrait nous amener à entendre les arguments d'Areva. Il n'est pas dans notre intérêt de voir ces mines fermer", a-t-il ajouté.

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