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Article

9 Jul 2015

Auteur:
Observatoire des multinationales (France)

Contre-rapport: Le véritable bilan annuel d’Areva : au-delà de la crise industrielle, le coût social et écologique du nucléaire

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Après ceux sur Total, Engie et EDF, l’Observatoire des multinationales publie ce jour le « véritable bilan annuel » d’Areva. Alors que le groupe nucléaire public traverse une crise sans précédent, ce document montre que derrière les affaires et les fiascos auxquels est confrontée Areva, c’est tout un modèle industriel lourd de conséquences qui devrait aujourd’hui être remis en cause...Ceux qui feront les frais de cet aveuglement sont les employés directs et indirects du groupe, en France et ailleurs, comme au Niger, où les salariés et sous-traitants paient déjà le prix des contaminations radioactives...Aujourd’hui, le risque est réel que la restructuration d’Areva...signifie aussi une régression sur le plan politique, social et environnemental. C’est pourquoi il est plus nécessaire que jamais de mettre en lumière l’ensemble du bilan d’Areva. C’est précisément ce qu’a entrepris l’Observatoire des multinationales à travers son « véritable bilan annuel » d’Areva...L’impact sanitaire et environnemental des activités nucléaires se fait sentir non seulement dans les pays comme le Niger, où Areva extrait son uranium, mais également en France, à proximité des installations du groupes, dans les anciens sites miniers non réhabilités, et dans les centaines de trains transportant des matières nucléaires chaque année.

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