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Article

24 Jan 2008

Auteur:
Amnesty International France

[PDF] Mines antipersonnel et bombes à sous-munitions - Amnesty International dénonce les politiques d’investissement des plus importantes institutions bancaires françaises

Amnesty International France (AIF) publie aujourd’hui les résultats de ses échanges avec les principaux groupes bancaires français ; ils montrent l’absence d’une politique publique de non investissement dans des entreprises liées au commerce de mines antipersonnel (MAP) et de bombes à sous-munitions (BASM). En mai 2007, AIF avait interrogé les groupes BNP Paribas, Crédit Agricole, Natixis [joint venture de Caisse d'Epargne & Groupe Banque Populaire] et Société Générale quant à la nature de leurs investissements dans de telles entreprises... [Le Centre de Ressources sur les Entreprises & les Droits de l'Homme a invité les 4 banques à répondre : - Crédit Agricole a répondu - voir ci-dessous - Natixis a répondu - voir ci-dessous - Société Générale a indiqué qu'elle avait proposé une réunion à Amnesty International à ce sujet; si elle fourni une réponse, nous l'afficherons ici - BNP Paribas a indiqué qu'elle préfère ne pas répondre de façon précipitée au communiqué d'Amnesty du 24 janvier à ce moment, car un dialogue est en cours entre BNP Paribas et Amnesty International]

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