abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

Le contenu est également disponible dans les langues suivantes: English, Deutsch, 한국어

Article

14 Fév 2024

Auteur:
Reuters,
Auteur:
Agence Belga,
Auteur:
Tagesschau

Chine : Volkswagen en discussion sur son avenir au Xinjiang suite à des allégations de travail forcé

"Travail forcé des Ouighours: Volkswagen examine l'avenir de son usine au Xinjiang", 14 février 2024

...Volkswagen "est actuellement en pourparlers avec la coentreprise SAIC-Volkswagen sur l'orientation future des activités commerciales dans la province du Xinjiang", selon une déclaration du groupe à l'AFP....

Volkswagen, premier constructeur européen, est mis en cause depuis des années pour son usine d'Urumqi ouverte en 2013 dans la capitale du Xinjiang, région où, selon les défenseurs des droits, plus d'un million de musulmans de la minorité ouighours seraient détenus dans ce que Pékin présente comme des "centres de formation professionnelle".

Le quotidien allemand Handelsblatt a affirmé mercredi que le constructeur aurait également bénéficié du travail forcé de Ouighours, lors de la construction d'une piste d'essai pour ses véhicules au Xinjiang, sur la commune de Turpan.

"Les employés des organisations impliquées dans la construction de la piste d'essai ont participé activement aux mesures visant à contrôler et à réprimer les Ouïghours", a déclaré l'universitaire allemand Adrian Zenz au Handelsblatt.

Après le résultat d'un audit mené dans l'usine d'Urumqi, sous pression d'investisseurs, Volkswagen avait pu affirmer en décembre n'avoir trouvé aucune preuve de travail forcé parmi les employés.

Mais d'après le groupe, l'audit n'a pas été mené sur le site d'essai de Turpan. Toutefois, Volkswagen dit n'avoir reçu "aucune preuve de violations des droits de l'homme" concernant Turpan.

"Nous sommes en contact avec notre partenaire de coentreprise SAIC sur la manière de procéder en ce qui concerne le site d'essai", a ajouté le constructeur.

Fait partie des chronologies suivantes

China: 83 major brands implicated in report on forced labour of ethnic minorities from Xinjiang assigned to factories across provinces; Includes company responses

China: Mounting concerns over forced labour in Xinjiang