abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

14 Mai 2022

Auteur:
Agence Ecofin (Suisse)

COP15 : « Les avantages de l'action contre la dégradation des terres l'emportent largement sur les coûts de la gestion durable des terres »

Il faudrait plus de 30 billions de dollars pour atteindre les objectifs de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD), mais l'inaction pourrait coûter encore plus cher, ont souligné les participants à une session organisée en marge de la 15e Conférence des parties (COP 15) à la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD)...

[L]e coût de 30 billions de dollars inclu[t] une action dans le secteur foncier, qui pourrait générer 400 millions de nouveaux emplois. L'objectif de développement durable pour la vie sur terre est le moins financé, mais il peut contribuer le plus à la résilience, [a déclaré Camilla Nordheim-Larsen, coordinatrice principale des partenariats et de la mobilisation des ressources à la CNULCD.]..

Le coût de l’objectif à atteindre peut sembler important, mais les gouvernements pourraient payer un prix encore plus élevé s'ils ne font rien. « Les avantages de l'action contre la dégradation des terres l'emportent largement sur les coûts de la gestion durable des terres. En Afrique subsaharienne, c'est jusqu'à sept fois plus ! L'inaction coûte aux pays subsahariens 490 milliards de dollars par an, alors que selon l'initiative "Economics of Land Degradation", une action visant à inverser la dégradation des terres pourrait générer des bénéfices d'une valeur allant jusqu'à 1 400 milliards de dollars », a alerté Luc Gnacadja, ancien secrétaire exécutif de la CNULCD et ancien ministre de l'Environnement du Bénin, actuellement coprésident du Comité exécutif du mécanisme des avantages de l'adaptation...

Chronologie