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Article

4 Mai 2015

Auteur:
Jean Pepin Ndjo, CEMAC Business (Cameroun)

La société civile plaide pour plus de transparence

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La confidentialité qui entoure les négociations entre le gouvernement et les entreprises étrangères au sujet des concessions foncières, contribue au mal-être des populations riveraines de ces espaces. Pour remédier à cela, le Réseau de lutte contre la faim (Relufa), avec le soutien du Programme d’appui à la société civile (PASC) ont mené une étude sur la question...[qui] révèle qu’il n’existe aucun texte favorisant la transparence dans ces concessions. Et pourtant, la plupart de ces concessions se font sur le domaine national dont l’Etat n’est que le gardien qui devrait en rendre compte...A titre de recommendations, l’etude demande une révision des textes ainsi qu’une forte intervention des acteurs de la société civile, du parlement et des médias...l’étude révèle que de grands espaces relevant du domaine public sont bradés par ceux-la même qui ont la charge de les gérer. Ces espaces sont vendus à vil prix aux investisseurs ou compagnies étrangères, du fait du caractère confidentiel des transactions. A cet effet, l’étude suggère que soit fixé un prix connu de tous, conformément aux normes internationales. «Les négociations bilatérales sont toujours en défaveur de l’Etat. Celui-ci gagnerait à fixer un prix connu de tous, conformément aux standards de marché internationaux » confie professeur Kenfack. [Fait référence à la CDC [Cameroon Development Cooperation], Pamol, Socapalm, PHP [Plantation de Haut Pendja]...].