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8 Aoû 2015

Auteur:
Radio Okapi (Rép. dém. du Congo)

RDC : les opérateurs économiques réfléchissent sur la révision du code minier

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Les opérateurs miniers se sont rassemblés...pour réfléchir sur la révision du code minier congolais promulgué en 2002. Ils estiment que ce texte législatif qui régit le secteur minier apporte beaucoup d’avantages mais souffrent d’application. Cette thèse n’est pas appuyée par d’autres opérateurs qui pensent que ce code n’est pas le meilleur d’Afrique et mérite d’être amendé. Le président de la chambre des mines à la Fédération des entreprises du Congo, Claude Polet, énumère des avantages du code minier de 2002, notamment : Son régime fiscal qui a attiré plusieurs investisseurs; L’ouverture du secteur minier aux capitaux privés; La simplification des procédures d’octroi des titres miniers. Dix ans après sa mise en application, il n’est pas exempt d’imperfections qu’il faut corriger dans l’intérêt de toutes les parties, a martelé Claude Polet. Dans la même perspective, l’ancien vice-président de la commission nationale des Mines de la FEC, Paul Franssen, a rappelé à l’assistance les obstacles auxquels font face les promoteurs d’investissements miniers en RDC. Il cite notamment : La lourdeur du système administratif; L’insécurité juridique et judicaire; L’insuffisance des infrastructures de base dans le transport et l’énergie; Une fiscalité jugée lourde amis surtout imprévisible au point même de remettre en cause la viabilité d’un projet. Le président de la FEC, Albert Yuma, a quant à lui rappelé que l’amélioration du climat des affaires reste la solution par excellence pour faire jouer au secteur privé son rôle de créateur de richesse. Et le code minier qui est en train d’être révisé doit s’inscrire dans cette mouvance.

 

 

 

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