abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

이 페이지는 한국어로 제공되지 않으며 French로 표시됩니다.

기사

2014년 6월 19일

저자:
Radio Okapi (Rép. dém. du Congo)

Katanga : CMSK dément la mort de 3 personnes qu’auraient tuées ses gardes [Rép. dém. du Congo]

La Compagnie minière du Sud du Katanga (CMSK) [appartenant à la Gecamines] dément les allégations des creuseurs clandestins, accusant les policiers qui sécurisent sa concession de Kawama d’avoir tué trois villageois...Ces creuseurs accusent ces gardes d’avoir tiré des coups de feu pour tenter de les disperser pendant leur incursion dans la mine. Les balles auraient tué trois habitants d’un village environnant. CMSK dément ses informations, accusant les creuseurs clandestins d’user de la violence pour pénétrer illégalement dans sa concession afin d’exploiter du cuivre et du cobalt. « Ils viennent avec des pierres, des barres de mines. Nous avons amassé beaucoup de cas de nos agents qui sont fracturés par les creuseurs », affirme Yannick Lumbu, responsable de la sécurité de l’entreprise minière...les creuseurs clandestins se défendent de toute violence. Ils reconnaissent pénétrer dans le site minier avec « des instruments de travail »...Yannick Lumbu affirme que ces creuseurs pénètrent souvent dans les mines...munis « de barres de mine et de pierres ». Interrogé sur les coups de feu tirés par les policiers, Yannick Lumbu parle plutôt de « sommation policière » pour disperser les creuseurs clandestins. Il nie la mort de trois personnes qui auraient reçu les balles de la police.