abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb

이 페이지는 한국어로 제공되지 않으며 French로 표시됩니다.

기사

2021년 7월 20일

저자:
RFI

Pegasus: de nombreuses réactions et des dépôts de plaintes dans le monde

En France, sous le choc, certains médias se sont indignés et appelé les autorités à se saisir de l’affaire, d’autres comme Le Canard enchaîné et le site d’information Mediapart ont choisi de déposer plainte après les révélations d’espionnage de certains de leurs journalistes par les services marocains.

L’enquête a permis de démontrer qu’au moins 180 journalistes ont été victimes de techno-surveillance en Inde, au Mexique, au Rwanda, mais aussi en Hongrie, seul pays européen de la liste. Mise en cause, Budapest et Rabat ont catégoriquement démenti avoir utilisé ce logiciel espion.

Parmi les 50 000 numéros visés on retrouve également de nombreux hommes et femmes politiques. Dernière révélation en date, le Liban, où le président, le Premier ministre, des chefs de partis libanais, mais aussi des cadres du Hezbollah ont été la cible du logiciel espion sur demande de l’Arabie saoudite et des Émirats arabes unis. Cette nouvelle révélation parmi tant d’autres entraînera-t-elle des actions fortes ? À l'heure actuelle, en dehors du Maroc et de la Hongrie, aucun État ne s'est exprimé publiquement sur l'affaire...

타임라인