abusesaffiliationarrow-downarrow-leftarrow-rightarrow-upattack-typeburgerchevron-downchevron-leftchevron-rightchevron-upClock iconclosedeletedevelopment-povertydiscriminationdollardownloademailenvironmentexternal-linkfacebookfiltergenderglobegroupshealthC4067174-3DD9-4B9E-AD64-284FDAAE6338@1xinformation-outlineinformationinstagraminvestment-trade-globalisationissueslabourlanguagesShapeCombined Shapeline, chart, up, arrow, graphLinkedInlocationmap-pinminusnewsorganisationotheroverviewpluspreviewArtboard 185profilerefreshIconnewssearchsecurityPathStock downStock steadyStock uptagticktooltiptwitteruniversalityweb
Article

30 Mar 2018

Auteur:
Le Quotidien (Sénégal)

Protestation contre la Loi de finances à Niamey : La Coseddh exige la libération des 23 manifestants du 25 mars

Voir tous les tags

La Coalition sénégalaise des défenseurs des droits humains (Coseddh)...« exige la libération immédiate et sans condition des 23 manifestants pacifiques, notamment Ali Idrissa, Nouhou Arzika, Moussa Tchangari, membres de société civile nigérienne, et des vingt autres personnes arrêtées lors de la manifestation du dimanche 25 mars 2018 »...ces derniers sont arrêtés suite à une manifestation pacifique contre la Loi de finances 2018 et placés sous mandat de dépôt. Et sont inculpés pour « organisation et participation à une manifestation interdite et complicité de destruction de biens publics et privés ». Seydi Gassama, président de la Coseddh, et les défenseurs des droits de l’Homme sénégalais « condamnent les atteintes récurrentes à la liberté d’expression et de manifestation pacifique par le gouvernement du Niger »...les « droits de l’hommiste » sénégalais taxent cette incarcération de manifestants de moyen de répression du gouvernement nigérien à l’endroit de sa société civile et du peuple : « Ces arrestations visent à réduire au silence les critiques contre les choix économiques et sociaux du gouvernement.» Ils renchérissent, en rappelant à Niamey ses engagements sur le plan international...[Ces arrestations] constituent une violation flagrante par l’Etat du Niger de ses obligations internationales liées au Pacte international relatif aux droits civils et politiques et à la Charte africaine des droits de l’Homme et des peuples ainsi que la Constitution du pays qui garantissent la liberté d’expression et de rassemblement pacifique », constatent les défenseurs des droits humains sénégalais. La Coalition sénégalaise des défenseurs des droits humains...« demande instamment au gouvernement du Niger de mettre un terme à sa politique de harcèlement et de répression contre les défenseurs des droits humains ».

Chronologie